et c'est reparti pour un tour!
C'est vrai que je ne suis pas au jour le jour les actualités.
C'est vrai que depuis un trop fameux dimanche de mai, je ne regarde plus les infos, du moins plus comme avant.
C'est vrai aussi, que mon travail prend de la place dans ma vie, mais cela est tout à fait normal, vu que j'ai de la chance de faire quelque chose qui me plait, et qu'à ce titre je ne compte pas mes heures, même si cela peut paraître paradoxal, mais bon, c'est ainsi, et je n'ai, pour l'heure pas envie de m'étendre sur ce sujet... (peut être par la suite, on verra)
Toujours est-il que l'actualité du coté du Parti Socialiste me laisse pantois. La machine à perdre fonctionne à plein tube, et personne, parmi les militants du premier rang ne semble y faire attention. Les appétits des uns me font frémir, et les envies des autres me font frissonner. Sans être parano, il est tout de même navrant de la part de ces tristes sires que sont Messieurs Strauss-Kahn, Fabius voire Hollande, d'être arrivé au point de faire en sorte, par leurs manières, leurs discours, leurs actes, de faire exploser le PS avant les législatives. Le président l'a rêvé, les sbires l'ont fait...
Stop, messieurs "les je sais tout".
Arrêtez vos machines infernales.
La stratégie du suicide ne me convient pas du tout, surtout quand il faut faire barrage à une droite réactionnaire.
Les petits arrangements entre amis de la gauche, même s'ils sont voulus par une majorité des sympathisants, électeurs de la gauche, ne doivent pas masquer l'essentiel: gagner les élections législatives.
Soyons nous même, abordons les élections qui vont être malgré ma grande naïveté, des élections cruciales pour la gauche en général et le PS en particulier.
Si les verts, le PC et les autres veulent aller au casse-pipe seuls, laissons les y aller, et au second tour regardons ce qu'il y a à faire. En tout cas, je ne suis pas certain qu'il faille avoir des sentiments par rapports à ces partis qui ont refusé des pactes avant ces élections. S'il est vrai que je peux paraître extrémiste, je crois tout de même qu'il faille, peut être au prix de défaites, faire une campagne sur nos valeurs et pas sur des triangulaires hypothétiques. Ils (les partis de gauches) n'ont pas voulu d'alliances, alors qu'ils y aillent seuls et qu'ils se débrouillent.
Et de toute façon, pour moi le seul chef qui trouve grâce à mes yeux est Madame Royal.
Si par aventure elle décide de créer un mouvement politique différent, j'y adhérerai sans aucun état d'âme.
A bon entendeur